La peinture anime toute ma vie depuis le choc de l’exposition Van Gogh de 1951 à Grenoble, ville où je suis né, jusqu’aux visites au musée du Louvre en
compagnie de mon père, où, à sa grande surprise, je préférais Rembrandt et Georges de la Tour à Léonard de Vinci et sa Joconde.
De retour au domicile familial, je copie les icones admirées, petit à petit le chemin des premières créations personnelles se dessine, offrant son lot de
bonheurs et d’angoisses, ouvrant les portes imprévisibles d’un choix de vie.
Je serai peintre.